L’apiculteur est par définition bricoleur, il vous sera donc facile de fabriquer vos propres supports. Pour les ruches sédentaires, le choix est plus large.

La ruchette simple offre une grande souplesse d’utilisation : elle permet de ne s’équiper que d’un seul type de cadre, puisqu’on y utilise des cadres de ruche.

Le choix du véhicule dépend bien sûr du nombre de ruches exploitées, du type d’apiculture pratiquée (sédentaire, transhumante…), de la région (plaine, montagne…).

Tous les apiculteurs sont à la recherche de l’abeille idéale, celle qui ne pique pas, qui n’essaime pas et qui produit beaucoup de miel : difficile de la trouver !

Savoir si le sixième jour de nourrissement de la larve d’abeille ouvrière est une réalité scientifiquement prouvée ou une inexactitude régulièrement retranscrite.

Depuis les profondeurs de la préhistoire, l’homme récolte le miel en utilisant la fumée de végétaux ou d’excréments d’animaux afin de limiter les piqûres d’abeilles.

Nous avions évoqué 3 thèmes : la question phytosanitaire, l’interprofession et l’institut technique, la représentativité et le procès en déqualification. Depuis, même si rien n’est résolu sur le fond, il est évident que le dossier apicole a enfin été mis sur de bons rails.

L’échantillonnage a été réalisé au moyen d’un préleveur dont le débit de prélèvement a été fixé à 30 m3/h, afin que seules les particules de type PM10 soient prises en compte lors de l’échantillonnage.

Depuis des dizaines d’années, les apiculteurs font face à un très grand nombre de difficultés concernant leur cheptel et les récoltes de miel qui en résultent.

C’est sur sa station d’élevage de reines et de multiplication dans le bocage vendéen que m’avait donné rendez-vous Frank Alétru.